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Prise d'otages dans l'Ain : l'épouse et la fille d'un convoyeur de fonds libérées


Les deux otages ont été relâchées saines et sauves après moins de deux heures de captivité. L'enquête est en cours pour déterminer les motivations des ravisseurs.

Prise d'otages dans l'Ain : l'épouse et la fille d'un convoyeur de fonds libérées

L’épouse et la fille d’un convoyeur de fonds ont été prises en otages dans l’Ain vendredi avant d’être relâchées saines et sauves, ont indiqué à l’AFP des sources concordantes. «Cela a duré moins de deux heures, la dame et l’enfant sont en bonne santé» et rien n’a finalement été volé, a déclaré une source policière, confirmant une première information de RTL sur cette prise d’otage.

Le convoyeur de fonds a été contacté par les ravisseurs l’informant qu’ils détenaient sa femme et son enfant, une petite fille, a précisé une source proche de l’enquête. Le rapt s’est produit à Echenevex, dans l’Ain, à moins de 5 km de la frontière suisse.

Ils mettent la pression puis lâchent l'affaire

Le déroulement de la prise d'otages

Les ravisseurs ont demandé au convoyeur de leur indiquer des éléments et la description de son véhicule de transport de fonds. Cependant, après avoir mis la pression sur le convoyeur, les ravisseurs ont finalement relâché les otages.

La libération des otages

Les deux otages ont été retrouvées par un automobiliste dans une autre commune de l’Ain, selon la même source qui n’a pas livré plus de détails. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Lyon, compétente dans la région Auvergne-Rhône-Alpes pour ce type de banditisme, selon ces sources.

Les éléments clés de l'affaire

  • Prise d'otages de l'épouse et de la fille d'un convoyeur de fonds
  • Durée de la prise d'otages : moins de deux heures
  • Lieu du rapt : Echenevex, dans l’Ain
  • Libération des otages par un automobiliste
  • Enquête confiée à la police judiciaire de Lyon

Cette affaire soulève des questions sur les motivations des ravisseurs et les raisons de leur abandon soudain. Les enquêteurs devront déterminer si les ravisseurs ont été effrayés par la réaction des forces de l'ordre ou s'ils ont rencontré des difficultés imprévues.

La rapidité de la libération des otages et l'absence de vol final montrent que les ravisseurs ont peut-être été indécis ou effrayés par la situation. L'enquête en cours devrait apporter plus de clarté sur les circonstances exactes de cette prise d'otages.