Dimanche, sur Paris-Roubaix, le Slovène Tadej Pogacar a souffert sur les infernaux pavés. Mais ce n'est pas seulement le parcours qui lui a causé des soucis. Une montre suisse, portée par le cycliste, a également contribué à ses malheurs.
La montre suisse de Pogacar : un accessoire controversé
Depuis sa fondation en 2001, la marque Richard Mille a régulièrement sponsorisé des manifestations sportives. Elle a aussi investi de son argent sur des courses automobiles, tout en mettant des moyens à disposition de la Scuderia Ferrari, par exemple. L'entreprise des Breuleux soutient aussi un certain Tadej Pogacar, depuis quelques mois.
Une montre de luxe sur les pavés
Dimanche, sur Paris-Roubaix, la star slovène portait également sa montre suisse sur les pavés. Et pas sûr que ceux qui ont remarqué sa tocante vont courir se l'offrir dans la foulée. Déjà parce que ce modèle est certainement hors de prix - la RM 67-02 qu'il avait sur le dernier Tour de France coûtait plus de 200'000 francs -, mais aussi parce qu'à force de rebondir sur le parcours, «Pogi» a fini par saigner du poignet gauche.
Un accident sans gravité
Tadej Pogacar est aussi tombé sans se faire trop mal à une quarantaine de kilomètres du mythique vélodrome de Roubaix et a été battu par Mathieu Van der Poel, plus expérimenté que lui. Mais là, impossible de mettre la faute sur un éventuel déséquilibre à cause de sa montre. Celle-ci pèserait, en effet, guère plus d'une trentaine de grammes…
Les raisons de la chute
- Parcours difficile avec des pavés infernaux
- Montre suisse Richard Mille portée par Pogacar
- Chute à une quarantaine de kilomètres du vélodrome de Roubaix
- Défaite face à Mathieu Van der Poel
En conclusion, bien que la montre Richard Mille ait pu causer un certain inconfort à Tadej Pogacar, il est peu probable qu'elle ait été la cause principale de sa chute. La difficulté du parcours et l'expérience de ses adversaires ont certainement joué un rôle plus déterminant dans le résultat final.