L'ancien président français Nicolas Sarkozy connaîtra son sort le 25 septembre dans le procès du financement libyen de sa campagne de 2007. Ce procès, qui a suscité une attention médiatique intense, pourrait avoir des répercussions majeures sur la carrière politique de Sarkozy.
Décision cruciale le 25 septembre
Le tribunal se prononcera le 25 septembre à 10H00 dans l'affaire libyenne, mettant ainsi fin à une longue période d'incertitude pour l'ancien président.
Réaction de Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy a déclaré mardi ne pas vouloir «répondre à un réquisitoire politique et violent» du parquet financier, au dernier jour du procès des soupçons de financement libyen de sa campagne 2007. Il a évoqué un «contexte médiatique et politique détestable».
«Je ne le ferai pas, parce que je veux la vérité et je ne veux rien dire devant votre tribunal (...) qui puisse alimenter cette polémique», a poursuivi l'ex-président dans une référence à l'affaire Le Pen. «Je ne suis pas ici pour faire de la politique, mais pour défendre mon honneur et pour que la vérité soit faite», a-t-il ajouté.
Contexte de l'affaire
L'affaire du financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 a été marquée par de nombreuses révélations et controverses. Les accusations portent sur des soupçons de financement illégal par le régime de Mouammar Kadhafi, ce qui a conduit à une enquête approfondie et à un procès très médiatisé.
Implications politiques
Ce procès a des implications politiques importantes, tant pour Nicolas Sarkozy que pour la scène politique française. La décision du 25 septembre pourrait avoir des conséquences majeures sur la réputation et l'avenir politique de l'ancien président.
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