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Rose Gray lance son premier album «Louder, please» le 17 janvier 2025


La chanteuse londonienne Rose Gray sort son premier album, mêlant pop et électronique. Un opus énergique qui célèbre la liberté et la joie de vivre.

Rose Gray lance son premier album «Louder, please» le 17 janvier 2025

La chanteuse londonienne Rose Gray fait fi du blues de janvier et lance un appel fort au dancefloor avec son premier album «Louder, please». Elle a poussé son premier cri un soir de la Saint-Sylvestre, prédestinée peut-être à devenir une noceuse. Rose Gray nous emmène faire la nouba dans la nuit londonienne avec «Louder, please» (Plus fort, s’il vous plaît), dans les bacs le 17 janvier 2025. Un ballon d’essai à l’énergie débridée où la chanteuse anglaise de 28 ans décline pop et électronique sur le dancefloor à plein tube.

Un parcours musical riche en expériences

Les débuts et l'exploration de soi

Pourquoi la route menant à ce premier album a-t-elle été si longue? À 16 ans, j’ai abandonné mes études et signé avec un label, mais je n’étais pas prête à faire de la musique parce que je vivais dans un cocon et n’avais aucune expérience de la vie. Il fallait que j’explore le monde, découvre qui je suis et trouve ma famille choisie. J’ai commis plein d’erreurs avant de trouver les bons collaborateurs. C’est fou, je fais de la musique depuis dix ans.

Le choix d'un label indépendant

Était-ce vital pour vous de choisir un label indé? J’aime avoir le contrôle sur tout ce que je fais, de la musique à l’image. Je fais de la pop et de l’électronique et possède un type de voix qui se prête bien aux disques dance. J’aurais pu opter pour une voie plus commerciale, mais choisir un label indé m’a permis d’explorer librement les aspects plus alternatifs de mes chansons.

La fête comme libération

Vous vous décrivez comme une fêtarde et cela se sent dans ce disque. J’adore faire la fête. C’est une telle libération pour moi et mes amis. Cela dit, j’aime également prendre soin de moi et mes week-ends sont toujours contrastés. Le vendredi soir, je peux être à une rave, où joue un pote DJ et le lendemain, dans une retraite de yoga avec ma mère en train de méditer sur un bain de gongs.

Une nuit idéale à Londres

Votre nuit idéale à Londres? C’est dur parce que plein de clubs sont en train de fermer. J’aime commencer par boire des verres chez des amis et continuer dans un bar au bord des canaux londoniens. Ensuite, direction une rave dans un hangar à Hackney, où jouent des DJs comme Eris Drew ou Octo Octa. Et si je peux occuper un moment les platines, c’est le pied.

Collaboration créative avec Harris Dickinson

Votre compagnon, l’acteur Harris Dickinson, a réalisé deux de vos clips. Inspirant de travailler ensemble? Oui, notre ménage est très créatif. C’est un cinéaste tellement brillant.

Avec «Louder, please», Rose Gray nous offre un album qui célèbre la liberté et la joie de vivre, une véritable invitation à se lâcher sur le dancefloor.