Le règne de Philippe Fleury à la tête de la Fédération romande des entreprises Genève (FER Genève) s'achèvera, de manière inattendue, à la fin de l'année. La faîtière a annoncé jeudi le départ de son directeur, 18 mois après son entrée en fonction, en raison de «divergences quant au développement futur de la FER Genève».
Des divergences stratégiques à l'origine du départ
Selon «Le Temps», cette séparation d'un «commun accord» serait notamment due aux priorités que s'est fixées Philippe Fleury. Il serait trop proche des petites entreprises et des artisans, ce qui passerait mal «auprès des élites» de la FER Genève, avance le quotidien.
Un directeur engagé pour les PME et les artisans
Philippe Fleury a toujours montré un fort engagement envers les petites et moyennes entreprises (PME) et les artisans. Cette proximité était au cœur de sa vision pour la FER Genève, mais elle semble avoir créé des tensions au sein de la fédération.
Des priorités divergentes
Les divergences entre Philippe Fleury et les autres membres de la FER Genève concernaient principalement la direction future de l'organisation. Alors que Fleury mettait l'accent sur le soutien aux PME et aux artisans, les élites de la FER Genève semblaient avoir d'autres priorités.
Un départ inattendu
Le départ de Philippe Fleury, seulement 18 mois après son entrée en fonction, a surpris de nombreux observateurs. Cette décision soudaine soulève des questions sur la stabilité et la direction future de la FER Genève.
Les défis à venir pour la FER Genève
La FER Genève devra maintenant faire face à plusieurs défis, notamment :
- Trouver un nouveau directeur qui puisse unir les différentes factions au sein de la fédération
- Redéfinir ses priorités et sa stratégie pour l'avenir
- Maintenir la confiance des membres, en particulier des PME et des artisans
Le départ de Philippe Fleury marque une nouvelle ère pour la FER Genève, et il sera intéressant de voir comment l'organisation naviguera dans les mois à venir.