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Grace Jones et Yseult enflamment le festival de Montreux


Grace Jones, icône intemporelle, et Yseult, star montante, offrent un spectacle unique. Une célébration de la diversité musicale et de l'innovation.

Grace Jones et Yseult enflamment le festival de Montreux

Lors de son dernier passage au festival, en 2017, Grace Jones était apparue le crâne orné d’une tête de mort et les seins nus bariolés de peinture blanche. Décochant ses tubes mutants «Warm Leatherette» ou «Private Life», la chanteuse sans date de naissance connue ni genre fixe confirmait son image de créature dangereuse, imperméable au temps. Au-dessus de la mêlée, d’une autorité et d’une classe innée: telle est Miss Jones.

Figure clé du New York avant-gardiste des années 1970-1980, cette fille de pasteur rigoriste a incarné comme peu d’autres une époque où se redessinaient à toute vitesse les frontières de la mode, des arts plastiques ou de la musique.

Grace Jones, le show total d'une ultradiva

Un répertoire disco-reggae glacé

De «Portfolio» au monument «Night­clubbing», Grace Jones a défini un son exigeant, absolument novateur, situé aux frontières du reggae, de la pop, de la new wave et du disco glam. À Montreux, elle devrait de nouveau créer l’émoi en jouant ses tubes hermétiques aux modes («Pull Up to the Bumper», «Slave to the Rhythm»), ses reprises admirables («La Vie en rose», «Love Is The Drug») et, suppose-t-on, des extraits d’un nouvel album annoncé pour l’automne.

Yseult sur la même scène

En ouverture, Yseult. Intense, rétive aux étiquettes, la chanteuse devenue l’artiste féminine francophone la plus streamée du monde casse les codes sur «Mental», son nouveau disque. Après avoir marqué les Jeux olympiques de Paris, elle présentera un show forcément décapant.

Grace Jones et Yseult promettent un spectacle inoubliable, où l'exubérance et la générosité seront au rendez-vous. Ne manquez pas cette performance unique qui célèbre la diversité et l'innovation dans la musique.