Peu après 15h vendredi après-midi, un cycliste roulait avec deux de ses amis sur la route de Gardesana, près de Gargnano, une commune italienne de la province de Brescia en Lombardie, au bord du lac de Garde. Une route faite de nombreux virages serrés, de tunnels et de précipices abrupts.
Selon les premières informations, l'homme, un touriste de 43 ans, s’était arrêté et était descendu de son vélo pour prendre une photo. Toutefois, ses amis ont par la suite déclaré à la police qu’il s’était arrêté pour une pause pipi, comme le relate «La Repubblica».
Une tragédie inattendue
La chute fatale
Sous les yeux de ses amis, l’homme a alors soudainement perdu l’équilibre - pour une raison encore indéterminée - et est tombé dans le vide, faisant une chute de près de 100 mètres. Ses amis n'ont pu qu'assister impuissants à la tragédie.
L'opération de sauvetage
Ils ont immédiatement appelé les secours. Une opération de sauvetage d'envergure a été lancée, mobilisant les pompiers, la police, le service de secours alpin et un hélicoptère.
La récupération du corps
Malheureusement, il n'y avait plus rien à faire. Le corps sans vie de l'homme a été récupéré dans le lac de Garde par un bateau des garde-côtes.
Les causes de l'accident
Les causes exactes de cette chute tragique restent encore à déterminer. Les autorités locales ont ouvert une enquête pour comprendre les circonstances de l'accident. Plusieurs facteurs pourraient être en jeu, notamment :
- La nature accidentée du terrain
- Une possible perte d'équilibre due à la fatigue ou à un malaise
- Les conditions météorologiques au moment de l'accident
Réactions et hommages
La communauté locale a exprimé sa tristesse et son soutien aux amis et à la famille de la victime. Des hommages ont été rendus sur les réseaux sociaux, soulignant la dangerosité de certaines routes autour du lac de Garde et l'importance de la prudence lors des activités de plein air.
Cet accident tragique rappelle une fois de plus l'importance de la vigilance et de la sécurité lors des sorties en vélo, surtout dans des zones aussi accidentées que celles bordant le lac de Garde.
